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ce n'est pas fini!!!même les étudiants étant encore étudiant je trouve cela misérable personnelement, o a rien à voir la dedans....ils veulent surtout louper des cours...
Pourquoi les députés auraient le droit à des regimes spéciaux ? ( petit rappel : une fois élu à un poste, si l'année d'apres par réelu meme paye pendant 5 ans... environs 6000 € tout de meme qui paye ? nous... et si pas réelu 5 ans apres il gagne 1500 € à vie... je ne sais meme pas si je gagnerai cela... )...faut arreter de dire des betises et de croire a la lettre ce qu'il y a à la télé
- L'allocation est temporaire et dégressive L'allocation est versée pendant une durée maximum de 3 ans. Le montant du plafond représente 100 % de l'indemnité parlementaire de base pendant les 6 premiers mois, 70 % pendant le 2ème semestre, 50 % pendant le 3ème semestre, 40 % pendant le 4ème semestre, 30 % pendant le 5ème semestre, puis 20 % pendant le dernier semestre.
Avant de s'attaquer au cheminots je pense qu'ils devraient montrer l'exemple
Dites moi vraiment comment les cheminots pourraient faire greve qui dit greve dit cessation du travail sans que cela se voit ? j'ai meme vu une greve intelligente... je peux repondre y en a pas...
Certaines personnes ont fait le choix de rentrer à la sncf pour :- la securité de l'emploi- gagner moins bah oui un cheminot ne gagne pas 2000 € - et partir avec 37.5 années de cotisation...Ceux qui trouve cela anormale peuvent avoir ses avantages en entrant à la SNCF si il le souhaite...
C'est surtout un syndicat étudiant, largement minoritaire, qui fait grêve alors qu'il a participé à la rédaction du texte proposé par Valérie Pécresse...
Enfin ce n'est pas un gréviste de la sncf ou de la ratp qui ne passera pas noël avec sa famille...
Y'a pas de transport pendant le réveillon?
Grêve de la gratuité. - Ce n'est pas possible il me semble parce que par exemple pour les controleurs ce serait l'équivalent d'un refus de travailler donc un motif de licenciement comme un peu tout entreprise...
Concrètement, tous les personnels se déclareront en grève (et aucun ne sera payé, comme dans toutes les grèves), mais seuls les guichetiers et contrôleurs feront une cessation effective du travail (en quittant les guichets et en affichant l’état de grève par pancartes) tout en laissant les accès aux quais ouverts (sans dérégler les tourniquets s’il y en a, pour éviter «l’exécution défectueuse du contrat de travail» qui rendrait la grève illégale). Cela exigera aussi une solidarité toute particulière avec ces catégories de personnel qui sont le fer de lance de la grève par gratuité.Dans ces conditions, nos chers cheminots pourraient ainsi décider de faire, le 18 octobre prochain, une grève par gratuité, ce qui présente un triple intérêt. Premier avantage, la grève par gratuité assure le service public de transport, indispensable pour notre économie et vital pour la liberté d’aller et venir des citoyens, première des libertés. En outre, le service public étant assuré, la grève par gratuité rend d’office inutile l’idée même d’un service minimum et enterre cette loi à mon sens inapplicable. Second avantage, l’action collective voit son efficacité renforcée : dans notre système libéral, c’est bien en s’attaquant à la trésorerie de l’employeur qu’une négociation intelligente peut prendre place. Dans une grève par blocage du service, l’employeur perd aussi du chiffre d’affaires, sans toutefois le réaliser pleinement, puisque le service est arrêté. Dans une grève par gratuité où le service fonctionne à plein, non seulement l’employeur réalise de visu combien il perd, ce qui est un facteur psychologique capital pour la négociation, mais en outre il supporte la totalité des charges d’exploitation (hors salaires) du service sans contrepartie financière : argument de poids ! Enfin, et peut-être surtout, la grève par gratuité est perçue comme sympathique par les usagers, car ils n’en sont plus otages mais bénéficiaires : soyez certains, chers cheminots, que le peuple tout entier soutiendra vos revendications. Et le temps jouera pour vous.