A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente:
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules:
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir.
Le FBI décide de sélectionner son agent le plus fidèle pour une mission de confiance.
Après toute une série de sélections, d'entretiens et d'essais, il ne reste que trois candidats. Pour le choix final, les agents mettent les hommes devant une grande portemétallique et leur remettent un pistolet.
- Nous devons être surs que vous suivrez nos instructions, et ce quelles que soient les circonstances. Derrière cette porte, vous trouverez votre femme assise sur une chaise,et vous devrez la tuer.
Le premier dit:
- Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne pourrai jamais tuer ma femme.
- Alors, vous n'êtes pas l'homme fait pour ce travail.
On donne au deuxième homme les mêmes instructions. Il prend l'arme et entre dans la salle. Tout est calme pendant environ cinq minutes, puis l'homme revient, les larmes aux yeux:
- J'ai essayé, mais je ne peux pas tuer ma femme.
- Vous non plus, vous n'êtes pas fait pour le job. Emmenez votre femme et rentrez chez vous.
Enfin c'est le tour du troisième. On lui donne encore une fois les mêmes consignes, en lui indiquant qu'il doit tuer sa femme. Il prend le pistolet et entre dans la salle. On entend des tirs, un coup puis un autre. Puis on entend des cris, des coups contre les murs, des meubles qui se brisent. Apres quelques minutes, tout redevient calme.
La porte s'ouvre lentement et l'homme sort. Il s'essuie la sueur du front et dit:
- Vous auriez pu me dire que le pistolet était chargé à blanc ! J'ai dû la finir avec la chaise.
Dans un hôpital psychiatrique, un nouveau docteur est en train de faire la visite quotidienne. Il arrive près d'un couple de patients qui montre un comportement très particulier. Le premier homme est assis à l'extrémité de son lit tenant un volant imaginaire entre les mains, et imitant les bruits de moteur d'un camion:
- VRROOOOM, VRRROOOOMM... SCREEEECH... VRROOOOM...
Le docteur lui demande:
- Qu'est-ce que vous faîtes?
- Je conduis un chargement de bananes en Allemagne, répond le gars.
Le médecin, à peine surpris, se tourne vers le voisin du gars, qui est dans le lit d'à côté, en train de remuer dans tous les sens sous les draps du lit.
Le docteur tire les draps d'un coup sec et constate que le gars est face contre le matelas, complètement nu avec une superbe érection !
Alors le docteur lui demande:
- Et vous, que faîtes-vous?
- Moi ? Pendant qu'il livre ses bananes en Allemagne, j'en profite pour baiser sa femme.
Un client s'adresse à mi-voix au pharmacien:
- Vous n'auriez pas cette fameuse pilule bleue pour les performances sexuelles ?
Le pharmacien lui répond:
- Ah, du Viagra ? Bien sûr que nous en avons.
Le client achète un comprimé. Servi, il fouille dans ses poches et s'exclame:
- Zut, j'ai laissé mon porte-monnaie chez le boucher.
- Vous paierez plus tard. Ce n'est pas un problème.
Le client sort, va chez le boucher quelques mètres plus loin et demande un bon gigot de mouton. Au moment de payer, il fouille dans ses poches et s'exclame:
- Zut, j'ai laissé mon porte-feuille chez le pharmacien.
- Ça ne fait rien. Vous paierez à votre retour.
Le client sort avec sa viande, va chez le marchand de fruits quelques mètres plus loin et achète quelques fruits exotiques. Au moment de payer, il fouille à nouveau dans ses poches et s'exclame:
- Zut, j'ai tout laissé chez le boucher...
Quelques heures plus tard, le pharmacien, le boucher et le marchand de fruits se retrouvent nez à nez, attendant le fameux client...
Un nouveau client s'adresse alors au pharmacien:
- Vous n'auriez pas des comprimés bleus ?
- Oui, bien sûr !
- Dites-moi. C'est vrai qu'ils sont efficaces ?
- Efficaces ? Bien sûr qu'ils le sont. Il y a un moment, avec un seul comprimé, un bonhomme nous a baisés à trois en même temps : le boucher, le marchand de fruits et moi.